Accueil > Histoire et romans historiques > Merle, Robert

Merle, Robert

La Violente amour, Fortune de France V

lundi 9 avril 2012, par webmestre

Éditions de Fallois (1992), Le Livre de poche, Paris, 1995, 732p.

p. 438

[...] Si j’avais deux sols de bon sens, ne devrais-je pas cesser ces interrogations infinies, et me contenter d’aimer — fût-ce en aveugle — l’Angelina que je vois là : une île de moi à demi déconnue...

p. 573

— My Lady, dis-je, il n’y aurait pire disconvenue que de demeurer souche devant tant de beautés.

p. 652

En second lieu, il vous baillerait quarante mille écus pour compenser vos dépens et débours dans l’entretainement de votre compagnie depuis que vous avez quitté son service.

p. 655

À quoi il y eut des rires et des huées à l’adresse de l’archiligueux, lequel, la crète fort rabattue et sentant bien que le vent allait dangereusement à son encontre, s’escargota.


Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Se connecter
Votre message