Traduit de l’italien par Nathalie Bauer, Plon, Paris, [2004], 2010, 1082p. 22,95 $
Du point de vue d’un lecteur d’aujourd’hui, en attente de suspenses écrits en brefs et haletants chapitres selon la formule, ce livre serait d’un mortel ennui. Il s’agit toutefois d’un livre des plus intéressants. D’abord pour l’amateur d’anecdotes et de belle littérature, mais aussi pour l’historien puisque l’ouvrage se targue également d’exposer une théorie au bout de laquelle l’histoire aurait pu s’en (…)
Les livres ici recensés constituent principalement un inventaire. Alors que certains ouvrages sont commentés, il s’agit plutôt d’un relevé partiel et en progression des centaines de livres qui constituent la bibliothèque familiale. La base de données permet aussi de laisser une trace et des souvenirs des lectures entreprises.
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Monaldi, Rita et Francesco Sorti
9 avril 2012, par webmestre -
Paris, Alain
9 avril 2012, par webmestreÉditions de l’Archipel, Paris, 1999, 418p.
p. 33 :
- Quelles rencontres ? — Strigoïs et nosferats, stregonys, vurdalaks ou priccolitchs ! chuchota l’homme en énumérant les entités maléfiques du monde de la nuit. -
Waller, Maureen
9 avril 2012, par webmestreFour Walls Eight Windows, New York, 2000, 400p.
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Wallis Budge, E. A.
9 avril 2012, par webmestreCollier Books, Macmillan Publishing Co., New York, second edition, 1977, 426p. The Secrets of Ancient Egypt’s Funereal Amulets and Scarabs, Idols and Mummy-making, and How to Read Hieroglyphics, with Eighty-Eight Illustrations.
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Weulersse, Odile
9 avril 2012, par webmestreÉditions du Club France Loisirs, Paris, 2002, 400p.
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Merle, Robert
9 avril 2012, par webmestreÉditions de Fallois (1993), Le Livre de poche, Paris, 1995, 570p.
p. 88« C’est la gaucherie même ! Elle marche avec les pieds en dedans. Qui pis est, elle a des tétins, mais elle n’a pas de cul. »
p. 244Du diantre si je sais pourquoi, en les cinq années qui suivirent mon installation au Louvre, les étés devinrent en Paris si étouffants et les hivers, si froidureux. Mais c’est un fait que le ciel, en ces temps-là, fut comme dégondé de ses naturelles humeurs et alla sans cesse au (…) -
Merle, Robert
9 avril 2012, par webmestreÉditions de Fallois (1991), Le Livre de poche, Paris, 1993, 568p.
p. 60, à propos de L’Astrée, le célèbre roman d’amour d’Honoré d’Urfé:Mais à force d’ouïr l’émeuvement où la lecture de ce livre sublime jetait tant de ses amies, elle n’eut de cesse qu’elle n’engageât une noble demoiselle pour prêter sa voix, chaque soir, aux agréments et aux délicatesses qui débordaient de ce récit.
p. 93— Comme quoi, dit le Chevalier avec feu, d’un abus découle toujours un autre abus. Et le premier en (…) -
Merle, Robert
9 avril 2012, par webmestreÉditions de Fallois (1992), Le Livre de poche, Paris, 1995, 734p.
p. 30Différence, qui en mon opinion, ne tenait qu’à l’entretainement qu’il avait subi dès l’enfance, ayant été élevé par son père dans le culte du courage, comme Tronson par le sien dans celui des clicailles.
p. 112-113Quand une dame me donne à croire qu’elle se prépare à me chérir, elle fait naître en moi un émeuvement si délicieux que je préfère, plutôt que de l’étouffer au berceau, suspendre, au moins pour quelques (…) -
Merle, Robert
9 avril 2012, par webmestreÉditions de Fallois (1992), Le Livre de poche, Paris, 1995, 732p.
p. 438
[...] Si j’avais deux sols de bon sens, ne devrais-je pas cesser ces interrogations infinies, et me contenter d’aimer — fût-ce en aveugle — l’Angelina que je vois là : une île de moi à demi déconnue...
p. 573
-- My Lady, dis-je, il n’y aurait pire disconvenue que de demeurer souche devant tant de beautés.
p. 652
En second lieu, il vous baillerait quarante mille écus pour compenser vos dépens et débours (…) -
Merle, Robert
9 avril 2012, par webmestreÉditions de Fallois (1992), Le Livre de poche, Paris, 1994, 672p.
Combien étrange est l’usage de mots anciens — tels que « remembrance » (p. 157, p. 190, etc.) — à consonnance anglophone, alors qu’aujourd’hui utilisés dans notre langue, ils nous passeraient pour s’adonner paresseusement aux anglicismes ! De même que l’origine de certains mots passés dans l’usage anglophone, tels que « labour », dont l’emploi constant se rapportait, bien évidemment, au travail : « Et mieux j’aimerais avoir (…)