L’auteur Calaferte écrit : « Approcher la mort est une épreuve terrible. Quiconque prétend le contraire est une canaille.  » Mais surtout, il évoque parfois l’éventualité du suicide, comme tentation, ou comme évasion. Il écrit donc ceci : « Paradoxalement, le suicide est une façon de fuir la mort.  »
Louis Calaferte, Situation. Carnets XIII — 1991, Gallimard, collection L’arpenteur, Paris, 2007, 333 pages.
Cela est bien. Cependant, à mon avis, Victor Hugo l’emporte qui écrit :
Je dis que le tombeau qui sur les morts se fermeOuvre le firmament.
Quelle élégante façon de commencer une chronique. Envisager l’éternité, l’énumérable énumération de tous les paradoxes.